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Motobicyclette Landru
La fig, 57 montre la disposition donnée à l’assemblage mécanique : le moteur, de la force de un cheval environ, est encastré dans le cadre, ainsi que la boî te d’accumulateurs, et en avant du pédalier. Ce modèle, que l'on peut examiner à l’Exposition universelle, classe 30, paraît rationnellement conçu et capable de donner de bons résultats; sa stabilité est certainement très grande et ce point mérite attention.
Motobicyclette Labre et Lamaudière. Cette machine est incontestablement la plus au point de toutes les bicyclettes à pétrole que nous avons pu voir fonctionner, car chaque organe a été soigneusement étudié pour donner un résultat parfait, et c’est la plus élégante et la plus légère : elle ne dépasse pas 30 kilogrammes de poids en ordre de route, on peut dire que c’est le modèle du genre.
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Fig. 57 — Bicyclette a moteur, de M. Landru.
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Comme le montre la fig. 60, c’est une véritable bicyclette avec laquelle il est possible de pédaler, et c’est à peine si le mécanisme moteur alourdit l’ensemble de ses lignes ; toutes les proportions sont conservées, et le moteur ainsi que le carburateur et l’appareillage électrique, ayant des dimensions extrêmement réduites, sont logés dans le cadre.
Fig. 58 et 59. — Moteur de la bicyclette h pétrole de MM. Labre et Lamaudière.
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Le moteur représenté à part (fig. 58 et 59), est disposé dans l’axe du tube central du cadre, qu’il remplace même sur une certaine longueur ; son cylindre à ailettes de refroidissement mesure 65 millimètres de diamètre intérieur, la vitesse normale de rotation est de 2000 tours par minute, la puissance développée est d’environ 90 kilogrammètres par seconde, enfin l’ensemble ne dépasse pas 8 kilogrammes de poids. Le fonctionnement du moteur s’effectue, bien entendu, suivant le cycle à quatre temps; le volant de régulation, au lieu d’être enfermé dans un carter, tourne librement à l’extérieur ; le graissage est automatique et la commande de la soupape d’échappement est effectuée par un procédé nouveau, fort ingénieux, supprimant les engrenages intermédiaires.
Le carburateur, à barbotage, dont nous avons déjà parlé, est constitué par une boîte métallique divisée en deux compartiments, dont l’un sert de réservoir et l’autre dé carburateur proprement dit. Dans ce dernier, des lames disposées verticalement à la partie inférieure de la boîte limitent l’agitation du liquide pendant la marche ; on ob¬ tient ainsi une carburation uniforme, quels que soient les cahots et les trépidations de la route.
La transmission du mouvement à la roue d’arrière se fait par une courroie en cuir passant sur deux poulies d’inégal diamètre, la plus grande étant fixée directement sur les rayons de la roue motrice. La courroie passe entre les deux bras d’une coulisse destinée à guider l’axe d’une
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poulie-tendeur, que le cycliste peut faire fonctionner à l’aide d’une manette à déclic articulée sur la traverse supérieure du cadre. On peut donc, par ce moyen, débrayer instantanément le moteur et le rendre indépendant de la bicyclette.
L’allumage est déterminé par une étincelle électrique dont le jaillissement est réglé par une came avec trem- blenr. Le courant est fourni par un petit accumulateur accroché au cadre, devant la caisse du carburateur, et dont le courant actionne une bobine d’induction fixée derrière la selle.
Cette bicyclette automobile est la plus légère qui ait paru jusqu’à maintenant. Tandis que la plupart des bicyclettes automobiles pèsent en moyenne 40 à 50 kilogrammes, la machine Labre et Lamaudière ne dépasse pas un poids de 30 kilogs en ordre de marche, ce qui est fort remarquable et constitue un avantage très appréciable pour le touriste, car il permet, en cas d’avarie au moteur impossible à réparer sur la route avec l’outillage restreint que l’on a pu emporter, de pédaler sans trop de fatigue à une allure de promenade et d’atteindre la ville voisine ou de revenir à son point de départ. Ajoutons que la consommation d’essence ne dépasse pas 3 litres 1/2 pour un parcours de 100 kilomètres, considération qui a bien aussi son importance quand on a de longues distances à parcourir.
En résumé, la motobicyclette Labre et Lamaudière nous paraît constituer le meilleur type du genre, car son moteur est assez puissant pour lui permettre de remonter des
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rampes assez dures sans avoir à donner un coup de pédale ; elle est stable en raison de l’abaissement du centre de gravité, et son mécanisme, quoique réduit à des proportions qui en font un bijou de mécanique, est d’une surveillance et d’un entretien faciles. Nous avons pu étudier de près son fonctionnement et notre conviction est que c^est un excellent outil, capable de rendre les meilleurs services aux mains d’une personne soigneuse.
Si nous voulons tirer une conclusion impartiale de cette étude rapide des principaux modèles de bicyclettes automobiles (car nous ne les avons pas tous décrits, ce qui eût été fastidieux), nous serons amenés à reconnaître qu’une opinion s’impose pour quiconque a pu examiner de près les cycles à moteur de toutes catégories. C’est que la bicyclette automobile, rationnellement construite, présente d’indéniables avantages, même sur le tricycle si en faveur aujourd’hui. Avec le moteur appliqué sur le pédalier, le centre de gravité se trouve abaissé et la stabilité est assurée à un tel point que, sur un sol uni, on peut abandonner sans danger le guidon, comme avec une bicyclette ordinaire. De plus, ces machines n’ayant qu’une voie peuvent passer partout, circuler dans les moindres sentiers cyclables et éviter le pavé, ce que le tricycle ne saurait faire. En cas d’avarie au moteur, celui-ci peut être rendu instantanément indépendant en enlevant la courroie de transmission, et l’on peut pédaler sans trop de fatigue, chose presque impossible avec le tricycle auquel est survenu une panne irréparable sur route. Enfin, c’est par excellence le motocycle du grand public, eu raison de son prix relativement peu élevé, qui n’atteint pas 1000 francs, et surtout de sa faible consommation d’essence, autant de qualités que l’on ne rencontre pas réunies avec le véhicule à trois roues.
La plupart des défauts que Ton pouvait reprocher avec juste raison aux premiers systèmes de motobicyclettes, ont été heureusement atténués, sinon complètement supprimés dans les modèles les plus récents, qui sont, il faut le reconnaître en toute sincérité, aussi commodes et avantageux qu’il est permis de l’être à des cycles à deux roues actionnés par le moteur à air carburé.
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Tandems à pétrole. — Ce sont des machines destinées surtout à l’entraînement des coureurs cyclistes sur piste et sur route. Le moteur est disposé dans le cadre, et peut fournir près de 100 kilogrammètres par seconde. Les tandémistes ajoutent encore à l’effort en pédalant vigoureusement, de telle façon qu’il est possible de maintenir l’allure de 50 à 60 kilomètres à l’heure, ainsi qu’on a pu le constater dans différents essais au cours desquels la vitesse a été soigneusement mesurée. Le tandem à essence présente donc un très réel intérêt pour l’application en vue, et il est à penser qu’il devra faire partie à l’avenir de l’outillage des recordmans et du matériel d’entraînement des rois de la piste, car il est incontestablement supérieur dans ce cas aux meilleures équipes de tandems, triplettes et même quadruplets à moteur humain.
Fig. 61. — Tandem à pétrole Richard-Choubersky.
Notre fig. 61 montre l’aspect d’un tandem de course (disposition Richard-Choubersky), à moteur de Dion 2 chev. 1/4) employé par certaines équipes de coureurs. M. Boyer a supprimé la place de l’équipier d’arrière, inutile à son avis, et le moteur est disposé verticalement audessus de la roue motrice qu’elle actionne par une chaîne spéciale.
Tandems électriques. — De même que le précédent, le tandem à moteur électrique est spécialement destiné à faciliter les grandes vitesses aux cyclistes, pour les courses et les records sur piste. Le meilleur système, celui qui a donné les preuves de son efficacité, paraît être celui de MM. Clerc et Pingault. Cette machine, capable de donner à volonté toutes, les vitesses utilisables, a une régularité d’allure vraiment remarquable et fonctionne silencieusement sans bruit ni odeur, ce qui n’est pas le cas du tandem à pétrole. Mais, en revanche, les accumulateurs qui actionnent le moteur disposé à la partie inférieure du cadre, entre les deux équipiers, sont rapidement déchargés, si bien que, dans les épreuves un peu longues, il est nécessaire d’avoir un certain nombre de machines se relayant successivement.
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Parmi les prouesses des champions de la pédale réalisées avec l’aide du tandem électrique comme entraîneur, nous ne rappellerons que te record classique du kilomètre, battu en octobre 1898 par Champion en cinquante-six secondes, ce qui correspond à une allure de 65 kilomètres à l’heure environ. On a fait, il est vrai, bien mieux depuis lors avec des motocycles à pétrole comme machines d’entraînement des coureurs.
M. Darracq a fait également courir sur les pistes une triplette infernale pourvue d’un moteur électrique, et qui a montré son incontestable utilité pour les courses de vitesse et de demi-fond. II est à supposer que l’usage de ces machines d’entraînement, capables d’atteindre les vitesses les plus fantastiques, ne fera qu’augmenter avec le temps et que toute c< xxx écurie » de courses cyclistes en devra être munie pour ne pas se trouver en état d’infériorité réelle vis-à-vis de ses concurrentes.
Pour en revenir aux bicyclettes automobiles destinées au grand public, lequel est surtout composé de touristes, et pour résumer les descriptions de ce chapitre, nous dirons que leur avenir nous paraît aussi brillant que celui des autres motocycles, vu l’avantage de leur prix d’achat et d’entretien plus modique. Reconnaissons cependant, pour être impartial, qu’à côté des grandes qualités qui leur sont personnelles et que nous leur avons reconnues, elles ne sont pas sans présenter, en plus des inconvénients que l'on reproche aux tricycles, d’autres défauts, dont le moindre est le manque d’équilibre et de sécurité. Le moteur à pétrole est un peu
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compliqué pour être juché sur une bicyclette dont la première qualité doit être la légèreté : aussi la plupart des inventeurs n’ont-ils produit, en général, que des espèces de monstres hybrides manquant absolument d’élégance et de confort, et dont l’usage, surtout dans les villes, est assez dangereux. Faisons exception toutefois pour la motobicyclette Lamaudière et Labre, qui échappe à ces critiques, car, ainsi que nous l’avons montré, tout s’y trouve prévu et étudié avec le plus grand soin.
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Landru motorcycle
Fig. 57 shows the layout given to the mechanical assembly: the engine, strength of about a horse, is embedded in the frame, as well as the battery box, and in front of the pedal box. This model, which can be examined at the Universal Exhibition, class 30, seems rationally designed and able to give good results; its stability is certainly very great and this point deserves attention.
Motobicycle Labre et Lamaudière. This machine is unquestionably the most advanced of all petrol bicycles that we could see working, because each component has been carefully studied to give a perfect result, and it is the most elegant and the lightest: it does not not exceed 30 kilograms in road weight, we can say that it is the model of its type.
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As shown in fig. 60 is a real bicycle with which it is possible to pedal, and it is hardly if the driving mechanism weighs down all of its lines; all the proportions are preserved, and the engine as well as the carburettor and electrical equipment, having extremely reduced dimensions, are housed in the frame.
The motor, shown separately (fig. 58 and 59), is arranged in the axis of the central tube of the frame, which it even replaces over a certain length; its cylinder with cooling fins measures 65 millimeters in internal diameter, the normal speed of rotation is 2000 revolutions per minute, the power developed is approximately 90 kilogrammeters per second, finally the assembly does not exceed 8 kilograms in weight. The operation of the engine is, of course, carried out according to the four-stroke cycle; the regulating flywheel, instead of being enclosed in a casing, rotates freely on the outside; the lubrication is automatic and the control of the exhaust valve is carried out by a new, very ingenious process, eliminating the intermediate gears.
The carburettor, with bubbler, of which we have already spoken, consists of a metal box divided into two compartments, one of which serves as a tank and the other for the carburetor itself. In the latter, blades arranged vertically at the bottom of the box limit the agitation of the liquid during operation; one thus obtains a uniform carburation, whatever the bumps and vibrations of the road.
The transmission of the movement to the rear wheel is done by a leather belt passing over two pulleys of unequal diameter, the largest being fixed directly on the spokes of the driving wheel. The belt passes between the two arms of a slide intended to guide the axis of a tensioner pulley, which the cyclist can operate using a click lever articulated on the upper cross-member of the frame. It is therefore possible, by this means, to instantly disengage the motor and make it independent of the bicycle.
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Ignition is determined by an electric spark, the flash of which is regulated by a cam with trembling. The current is supplied by a small accumulator attached to the frame, in front of the carburettor case, and the current from which actuates an induction coil fixed behind the saddle.
Ignition is determined by an electric spark, the flash of which is regulated by a cam with trembling. The current is supplied by a small accumulator attached to the frame, in front of the carburettor case, and the current from which actuates an induction coil fixed behind the saddle. This automobile bicycle is the lightest that has appeared until now. While most motorized bicycles weigh on average 40 to 50 kilograms, the Labre et Lamaudière machine does not exceed a weight of 30 kilograms in running order, which is very remarkable and constitutes a very appreciable advantage for the tourist, because it allows, in the event of damage to the engine impossible to repair on the road with the limited tools that one was able to carry, to pedal without too much fatigue at a walking pace and to reach the neighboring town or to return to its starting point. It should be added that fuel consumption does not exceed 3 1/2 liters for a 100 kilometer trip, a consideration that is also important when you have long distances to travel. In short, the Labre et Lamaudière motorcycle seems to us to be the best type of its kind, because its engine is powerful enough to enable it to climb hills without having to pedal hard; it is stable due to the lowering of the center of gravity, and its mechanism, although reduced to proportions which make it a jewel of mechanics, is both easy to manage and maintain. We were able to closely study its function and our conviction is that it is an excellent tool, capable of rendering the best services in the hands of a careful person.
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If we want to draw an unbiased conclusion from this abreviated study of the main models of automobile bicycles (because we have not described them all, which would have been tedious), we will be led to recognize that an opinion is essential for anyone who has been able to closely examine the motor cycles of all categories. It's just the bicycle automobile, rationally built, presents undeniable advantages, even on the tricycle so in favor today. With the motor applied to the crankset, the center of gravity is lowered and stability is ensured at such a point that, on level ground, one can give up without danger the handlebars, as with an ordinary bicycle. In addition, these machines having only one lane can pass everywhere, ride on the smallest cycle paths and avoid the pavement, which the tricycle cannot do. In case damage to the engine, it can be made instantly independent by removing the transmission belt, and you can pedal without too much fatigue, something almost impossible with the tricycle which suffered an irreparable breakdown on the road. Finally, it is par excellence the motorcycle from the general public, due to its relatively low price, which does not reach 1000 francs, and especially its low fuel consumption, so many qualities that we do not meet together with the three-wheeled vehicle.
Most of the faults that you could rightly reproach early motorcycle systems for, have fortunately been mitigated, if not completely eliminated in later years. most recent models, which are, it must be recognized in all sincerity, as convenient and advantageous as it is allowed to be two-wheeled cycles operated by the carbureted air engine.
Petrol Tandems. — These are machines intended primarily for the training of cyclists on track and on road. The engine is arranged in the frame, and can deliver nearly 100 kilogrammeters per second. Tandem riders further add to the effort by pedaling vigorously, so that it is possible to maintain the pace from 50 to 60 kilometers per hour, as has been shown in various tests in which the speed was carefully measured. The gasoline tandem presents therefore a very real interest in the application in view, and it is to think that it will have to be part in the future of the tools of the record holders and training equipment for the kings of the track, because it is unquestionably superior in this case to the best teams of human-powered tandems, triplets and even quadruplets.
Our fig. 61 shows the look of a racing tandem (Richard-Choubersky layout), with Dion 2 engine horse. 1/4) used by some racing teams. Mr. Boyer has removed the place of the rear crew member, useless in his opinion, and the engine is arranged vertically above the driving wheel which it operates by a chain special.
Electric tandems. - Like the previous one, the electric motor tandem is specially designed to facilitate high speeds for cyclists, for races and track records. The best system, the one that gave the proofs of its effectiveness, seems to be that of MM. Cleric and Pingault. This machine, capable of giving at will all, usable speeds, has a regularity of pace really remarkable and runs quietly without noise or smell, which is not the case with the petrol tandem. But, on the other hand, the accumulators which actuate the engine arranged in the lower part of the frame, between the two team members, are quickly unloaded, so that, in the tests a little long, it is necessary to have a certain number of machines taking turns in succession.
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Among the feats of pedal champions achieved with the help of the electric tandem as a coach, we we will only remember your classic kilometer record, beaten in October 1898 by Champion in fifty-six seconds, which corresponds to a speed of around 65 kilometers per hour. Much better performance has been achieved since then by the riders of petrol motorcycles.
Mr. Darracq also had a infernal triplet[1] provided with an electric motor, and which has shown its undeniable usefulness for sprint and middle-distance races. It is to be assumed that the use of these driving machines, capable of reaching the speeds the most fantastic, will only increase with time and that any "stable" of cycle races will have to be equipped not to be in a state of real inferiority vis-à-vis its competitors.
Getting back to automobile bicycles intended for the general public, which is mainly made up of tourists, and to sum up the descriptions of this chapter, we will say that their future seems to us as bright as that other motorcycles, given the advantage of their purchase price and lower maintenance. We recognize, however, for to be impartial, only alongside the great qualities that are personal and that we have recognized them, they are not not without presenting, in addition to the disadvantages that are blamed on tricycles, other defects, the least of which is the lack of balance and safety. The petrol engine is a bit
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complicated to be perched on a bicycle whose first quality must be lightness: also most of the inventors have they produced, in general, only species hybrid monsters absolutely lacking in elegance and of comfort, and whose use, especially in cities, is quite dangerous. Let us make an exception, however, for the motobicyclette Lamaudière et Labre, which escapes these criticisms, because, as we have shown, everything is provided for and studied with the greatest care. End of Chapter VI
Notes. 1. In 1898, Henri Fournier was arrested in New York for riding his "infernal machine". ~ The Vintagent. https://thevintagent.com/2021/03/04/a-novel-and-sure-method-of-suicide-henri-fournier/
